Sunday, October 2, 2011

P.L. 2011 2012 Bolton Chelsea

2 October 2011
Reebok Stadium,
Bolton

Referee: P. Walton
Attendance: 24657


 Frank Lampard, l'omniprésent. En excluant les (rares) périodes pendant lesquelles il était blessé, le diesel de luxe de Chelsea a été titularisé soixante-huit fois lors des soixante et onze matches disputés par l'équipe d'Angleterre entre novembre 2003 et septembre 2011. Autant dire que, pour Eriksson, Mac Claren et Capello, tout comme pour Ranieri, Mourinho et tous ceux qui les ont suivis à Stamford Bridge, son nom était toujours parmi les premiers à être inscrits sur une feuille de match. Comment aurait-il pu en être autrement, d'ailleurs, lorsque ce milieu de terrain alignait des statistiques à faire crever d'envie la plupart des attaquants de Premier League? Il n'a jamais marqué moins de dix buts en une saison de Championnat depuis la saison 2002-03, passant la barre des vingt toutes compétitions confondues chaque année de 2005 à 2010. Avec cent quarante et une réalisations en cinq cent trois rencontres de Premier League, il est, et de loin, le milieu de terrain à avoir trouvé le plus souvent la cible depuis la création de ce Championnat. Enfin, le chiffre le plus incroyable : cent soixante-quatre matches de Premiership d'affilée, tous pour Chelsea, record pour un joueur de champ, le symbole le plus brillant de sa constance au plus haut niveau.
 On a pu dire de Lampard qu'il ne savait du football que ce qu'on pouvait en apprendre, mais c'était un compliment aussi bien qu'une pique. Le cousin de Jamie Redknapp était sans doute moins doué que son parent, mais son premier don n'était-il pas justement une faim d'apprendre et de se perfectionner qu'il n'a jamais assouvie? «Était» - vous aurez remarqué l'imparfait. Le 2 septembre, Fabio Capello écartait Lampard du onze de départ de l'Angleterre dans un déplacement crucial et victorieux (0-3) en Bulgarie, et ce alors que Jack Wilshere, devenu indiscutable, était indisponible. « Lamps » ne fit qu'un tout petit tour de piste en fin de rencontre, alors que le match avait été plié par bien plus jeune que lui, Young, Downing et Walcott s'entendant à merveille pour faire briller l'irrésistible Wayne Rooney. 
En double pivot défensif du 4-2-3-1 inédit de l'Italien, Barry et Parker, impeccables. Nouveau système, nouveaux joueurs (en attendant Cleverley et quelques autres), la presse anglaise tenait son grand titre. Ce n'était pas un 3-0 d'école, c'était le début de la fin de l'un des piliers de cette « génération dorée » maudite qui n'a jamais rien gagné. Capello le démentit, en mots et en actes; une semaine plus tard, il rangeait son 4-2-3-1 au placard et titularisait de nouveau Lampard contre le pays de Galles. L'Angleterre fut bien heureuse de s'en tirer avec un 1-0 immérité. Son numéro 8, lui, avait joué au pas, appliqué comme toujours mais incapable de lancer les accélérations d'hier et paraissant plus vieux que ses trente-trois ans. Le déclin ne devient une chute que lorsqu'il se manifeste en public. Or, ce qu'on avait vu à Wembley, on l'a aussi vu au Bridge depuis plus longtemps, mais jamais aussi clairement que cette saison, notamment lors d'un match catastrophique contre Norwich. L'intouchable tant admiré de José Mourînho dirait sans doute qu'il ne s'agit que d'un passage à vide temporaire, comme son coéquipier John Terry l'a fait pour lui. «Frank va rebondir, c'est à 100% sur, assure le défenseur des Blues. Si quelqu'un veut dire qu'il est fini, ce sera à ses risques et périls. »
Les faits sont têtus, néanmoins. Voilà deux ans que Lampard n'a pas marqué dans le jeu pour sa sélection, si l'on oublie un instant le but inscrit contre l'Allemagne à Bloemfontein lors du Mondial 2010 et refusé par l'arbitre, alors que le ballon avait franchi la ligne. Pour un footballeur dont le jeu est à ce point dépendant de sa capacité de jaillissement et dont la condition est optimisée par l'accumulation de matches, toute perte de densité physique peut avoir des conséquences fatales. Trente-deux rencontres toutes compétitions confondues en 2010-11, c'était moins qu'en quelque autre saison depuis 1996-97, quand il était encore à West Ham. Comme d'autres à Chelsea, le manège des entraîneurs sous la coupe de Roman Abramovitch (sept en huit ans) a protégé son statut d'irremplaçable. Mais les Blues ont aujourd'hui un entraîneur (le Portugais Villas-Boas) qui a le même âge que lui et qui piaffe d'imposer sa patte dans son nouveau club. Juan Mata et Raul Meireles viennent d'y arriver; le premier menace directement Florent Malouda; le second, tous les autres milieux de terrain. Et, du coup, on en vient à penser l'impensable, qui se produira bien un jour: le temps finit toujours par nous rattraper, y compris quand on s'appelle Frank Lampard. 

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First Half
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It is a comparison to make you feel, well, incredible. When Andre Villas-Boas was asked about how good Daniel Sturridge could Become he drew an analogy with his former Porto player, Hulk. ' Getting compared to any Brazil striker is flattering enough but when it is to a player with a reputed €100 million release clause that is serious praise. "I am not sure how his career will evolve, he has natural ability to play on the right flank, he has the opportunity to offer me the characteristics I had with Hulk when I was at Porto," Villas-Boas said. "He creates unpredictability. He has been performing well for the team. He is an extremely quick player, and he has technique at pace. You get plenty of pacy players, but what is important is that he arrives with the ball, he can control it and do something with it. that is what he offers."
 Sturridge, 22, is fit again and ready to face Bolton, the club that has done so much to develop his qualities in the last year. He scored eight goals after joining Owen Coyle's team on loan in January and the way he took the opportunity convinced Villas-Boas that he was ready for Chelsea.
"It was important to ,his formation as a player, not because he did not have the same ability before he went there, but because he has evolved, like any player would when you have a confidence-boosting year at Bolton, where he was scoring goals week in and week out That's when we thought his qualities were up to the standard of a Chelsea squad and that's when we wanted him back" his attack in the absence of the suspended Fernando Torres, although the Chelsea manager was keen to stress that he sees Sturridge playing a different role to Torres in tne front three. "We have been using Daniel in a different position," he said. "Fernando has been playing in a striking position and we've oeen using Daniel on the right, coming inside. So, normally, they are not competing for the same position and I spoke with Daniel about it in the beginning when I brought him over. Daniel is extremely happy in that position as well. I think it favours his natural and technical abilities and his pace. So he is competing for right- and left-winger positions."
There is more than one manager Sturridge is hoping to impress. Fabio Capello is also an admirer and will be eager to see how he performs this afternoon. He will name his squad for Friday's international this evening and Sturridge could well be involved. With Nicolas Anelka and Juan Mata in form and Didier Drogba returning to fitness, Villas-Boas has plenty of attacking options in the absence of Torres. It does not look encouraging for Bolton. Aside from their troubled start, Bolton have a dreadful record against Chelsea, having not beaten them since 2003. In the last eight games at the Reebok Stadium, Chelsea have not only won but Bolton have failed even to score. Nigel Reo-Coker, who joined Bolton in the summer, feels his new team-mates need to recover some of their old combative qualities, fostered under Sam AUardyce, if they are to recover from their poor start
"We've conceded soft goals and that's not what Bolton is about," Reo-Coker said. "We've always been a difficult team to beat and we need to get back to that old-school mentality of being Bolton bully boys.
"We can show what we can do football-wise, and we've played some great football, but we need to mix it with that old-school roughness, show that hunger,




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