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Tuesday, March 13, 2012

World Cup 1982 Italia West Germany

Final
11 July 1982
Estadio Santiago Bernabéu,  Madrid
Attendance 90 000
Referee Arnaldo Cézar Coelho

   La squadra azzurra est très bien armée pour empoisonner la vie d'une équipe allemande encore mal remise physiquement et nerveusement de la partie de campagne de Séville. Le palmarès le prouve avec neuf victoires de l'Italie, et cinq résultats nuls en dix-sept rencontres avec la R.F.A. La nature du footballeur italien, capable de tout faire mais suffisamment machiavélique pour ne pas le montrer, contraste beaucoup de surcroît avec celle du footballeur allemand jamais aussi à l'aise que dans le cadre d'un jeu rigoureux et peu porté à la bagatelle. En somme, l'Italien est un Français avec quelques petites choses en plus, qui ouvre les yeux et saisit le sens du voyage. Enzo Bearzot lui, est un Frioulan, un type de la montagne qui sait qu'on ne bouscule pas le temps. 

 Le catenaccio est tellement ancré dans les esprits que son évolution ne peut se faire qu'à dose homéopathique. Bearzot a pourtant compris, à Vigo, que la squadra faisait fausse route en restant obstinément fidèle aux vieux principes. Il relâche alors le carcan, encourage Oriali et Tardelli à sortir de leur rôle de garde-chiourmes et à redevenir, quand ils le peuvent, des créateurs. Il adopte pratiquement le système mis en application par Liedholm à l'AS Roma : trois défenseurs se consacrant à l'individuelle stricte sur les adversaires les plus dangereux, et les autres en zone, ce qui entraîne une amélioration du jeu offensif et fait dire à un technicien italien que "la nouvelle Italie a un père et une mère : le catenaccio et la zone". Karl-Heinz Rummenigge, qui souffre toujours d'une cuisse et qui est hors de forme puisqu'il s'est très peu entraîné, a décidé qu'on ne manque pas une finale de Coupe du Monde. Giancarlo Antognoni, avec sept points de suture sur le coup-de-pied, a été maintenu à l'écart, ce qui fait le bonheur de Giuseppe Bergomi, dix-huit ans et demi, un surprenant gaillard qui porte la moustache depuis l'âge de treize ans et qu'on surnomme «Zio», l'oncle. 

 Allemagne et Italie se livrent un long round d'observation, garde serrée et nerfs en pelote. On ne joue pas une finale de Coupe du Monde comme un match amical à Longevernes. Les Allemands font un gros travail de circulation du ballon mais les sangsues font le pressing et les coups de serpe ne sont pas perdus pour tout le monde. Par exemple pour Graziani contraint de sortir du terrain dès la 6e minute, épaule luxée, remplacé par Altobelli. Les Italiens, fidèles à une tactique qui a fait, sinon leur gloire, du moins leur palmarès moderne, remontent le terrain en trois coups de bottes et portent le danger chez Schumacher, le plus souvent par de longues transversales qui font suer les Germains. Ce n'est pas autrement qu'à la 22e minute, Briegel fauche Conti en plein vol pour un penalty aussitôt sifflé par le Brésilien Coelho. Penalty que rate Cabrini, événement inattendu de la part d'un Italien si apte à saisir de suite toutes les opportunités. La première victoire de la squadra est de considérer cela comme une péripétie et de ne rien changer à son approche de l'événement. La R.F.A. cherche l'ouverture et l'Italie l'attend au tournant. Il s'agit alors de la finale la plus étriquée et la plus énervante du monde mais attendez, on n'a pas tout vu ! A la 56e minute, Oriali tire un coup franc à destination de Gentile, lequel centre pour Paolo Rossi auquel Cabrini prête main-forte en balayant un Allemand qui gênait sa route. Schumacher, peut-être troublé par tant de violence, est resté sur sa ligne et Paolo a dévié le ballon dans la cage devenant ainsi, avec six buts, à la fois le meilleur buteur (soulier d'or) et le meilleur joueur (ballon d'or) de la Coupe du Monde 1982. 

 Les Allemands sont dans la nécessité d'attaquer ce qui est encore la meilleure façon d'entrer dans le jeu de la squadra azzurra laquelle s'en pourliche déjà les babines à l'avance. Douze minutes après le premier accroc dans le tapis vert de Schumacher et compagnie, Scirea ponctue un échange de passes entre Italiens par un centre en retrait au profit de Tardelli. Celui-ci ne fait ni une, ni deux et se couche pour expédier du pied gauche un bolide bien cadré (2-0, 68e). La squadra tient son os et elle ne risque pas de le laisser échapper pour qu'il soit rongé par un autre. A la 80e minute, Conti-le-superbe s'envole sur l'aile droite et, arrivé au croisement, lève la tête selon son habitude. Altobelli attend l'offrande, la reçoit, feinte un adversaire, attend la sortie de Schumacher et l'expédie sur les rosés (3-0), côté épines. Rummenigge est déjà sorti. Les Allemands vivent leur humiliation. Stielike incendie l'arbitre. Les Italiens sont champions du monde pour la troisième fois de leur histoire (1934, 1938, 1982) et rejoignent les Brésiliens au palmarès. Bearzot peut dire : « Moi, je n'ai jamais douté. » Le président de la Juventus de Turin peut se frotter les mains : avec six champions du monde, un troisième de l'épreuve (Boniek) et un quatrième (Platini), il a fait le tour de la question.



 Italie: Zoff - Gentile, Scirea, Collovati, Bergomi - Cabrini, Oriali, Tardelli, Conti - Graziani (8 Altobelli, 88 Causio), Rossi
Rfa: Schumacher - Kaltz, Stieleke, K.-H.Förster, B.Förster - Dremmler (63 Hrubesch), Breitner, Rummenigge (70 H.Müller) - Briegel, Littbarski, Fischer




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Monday, March 5, 2012

"Un 8 juillet à Séville" Documentary on France West Germany 1982

  Plusieurs joueurs de l''equipe de France auraient prefere retrouver l'Angleterre en demi-fmale afin de lui faire passer le gout du sel de Bilbao mais chacun s'accorde a recon-naitre qu'entre les Anglais et les Saxons de la R.F.A., la difference est mince. Les uns et les autres sont des redoutables, tallies dans le gra-nit de la puissance et de l'orgueil, et qui trou-vent dans les grandes occasions la pleine expression de leur temperament. En regardant dans les coins pour voir si un Saxon n'y est pas cache, on constate que les footballeurs de la R.F.A. ont gagne deux Coupes du Monde (1954,1974), deux championnats d'Europe des Nations (1972, 1980), sept Coupes Europeen-nes de Clubs alors que les notres courent encore apres un seul succes de ce genre. Deux fails cependant peuvent nous reconforter: au palmares des selections, France et R.F.A. sont a cinq victoires chacune (4 resultats nuls) en quatorze rencontres; et, la seule fois ou elle se sont affrontees en Coupe du Monde, la R.F.A. a pris une tannee (6-3 a Goeteborg, 1958).

La satisfaction est grande, pour Michel Hidalgo, d'avoir amene 1'equipe de France a ce stade de 1'epreuve. On cherche les raisons de cet epanouissement mais on ne peut que les approcher, a pas lents: « La participation aux demi-finales represente un aboutissement pour une equipe de qualite qui exprime enfm pleinement tout son potentiel et, au-dela de ce fait collectif, elle marque le plein epanouissement de chaque joueur. Dans une Coupe du Monde oil beaucoup de vedettes n'ont pas pu ou pas sujustifier leur reputation, 1'eclatement des joueurs franjais constitue quelque chose d'important. A quoi peut-on 1'attribuer ? A une bonne application de ce qui a toujours ete notre philosophie: une forme de liberte pour chacun a partir d'une ligne de conduite gene-rale, sans laisser-aller ni laisser-faire. J'aime bien le proverbe qui dit: - A droit aller, nul ne trebuche.» La composition de 1'equipe de France dans ce match du jeudi 8 juillet 1982 passe par le genou de Rocheteau, louche dans Faction de son deuxieme but contre L'Irlande et tenu d'at-tendre jusqu'au dernier moment pour confirmer sa participation. Pour le reste, confiance a Ettori, confiance a la defense (Amoros, Janvion, Tresor, Bossis), confiance au "milieu de terrain bresilien" (Tigana, Giresse, Genghini, Platini), confiance a Six pour epauler Rocheteau. Les Allemands ont tente de refaire 1'union sacree, Hrubesch expliquant a Derwall qu'il aurait tort de s'offusquer d'avoir ete traite de lache et d'incompetent, la terre etant pleine d'individus de ce genre. En fonction de quoi, les deux hommes ont bu une "mousse" qu'on appelle ici cerveza et Derwall a promis au geant cabosse de le faire entrer en cours de partie. Rummenigge, souffrant de sa cuisse, a ete ega-lement garde en reserve et la R.F.A. s'est presentee dans la formation suivante: Schumacher- Kaltz, K.H. Forster, Stielike, Briegel - B. Forster, Dremmler, Breitner, Magath - Fischer, Littbarski.

Ce sera l'un des plus beaux matches de l'histoire de la Coupe du Monde et la fierte, pour les joueurs franfais, d'avoir montre au monde ce qu'ils savaient faire, d'avoir ecrit une page de la legende du foot. Au lieu de crier: « Schumacher, le peuple aura ta peau », pensons a nos heros, elevons-leur une statue, donnons-leur la Legion d'Honneurau litre des Affaires etrangeres. En 1982, le seul veritable motif de satisfaction des Fran9ais fut leur equipe de foot, on ne nous enlevera pas fa de l'idee.  Ilreste aux Tricolores a jouer le match de classement pour la troisieme place a Alicante, quarante-huit heures apres leur marathon de Seville. Platini declare crument que «troisieme ou quatrieme, on s'en moque », ce qui est sans doute tres exagere. Car, le 10 juillet, ceux qui sont sur le terrain contre la Pologne, se conduisent en detenteurs respectueux de 1'heritage et gagneraient sans doute si Castaneda, qu'il nous pardonne, ne passait totale-ment a travers et n'encaissait deux buts de trop. Cette equipe de France formee de Castaneda - Amoros, Mahut, Tresor, Janvion - Tigana, Girard, Larios - Couriol, Soler, Bellone mene en effet 1-0 grace a Girard (14°). Elle semble tres accrochee a son sujet et tout a fait en mesure d'epingler la Pologne. Mais elle se promene le nez au vent en fin de premiere mi-temps et se fait prendre au piege de Szarmach qui va encore terminer troisieme de la Coupe du Monde, le traitre (42e, 1-1). Trois minutes plus tard, juste avant la mi-temps, "Casta", sur un corner, sort pour brasser de Fair, merci pour la tete de Majewski (45e, 2-1). Et, comme si cela ne suffisait pas, il se place si mal sur un coup franc de Kupcewicz (qu'il croyait indirect) que, deux minutes apres le repos, les Polonais menent 3-1. Un but de Couriol (75e, 3-2) et un tir d'Amoros, peniblement negocie par Mlynarczyk (88e) ferment le bel album des tricolores en Coupe du Monde 1982. On ne leur en veut de rien, qu'ils le sachent.




Documentary,
French Comments


Matches of the Century: World Cup 1982 France West Germany

Semi Final
8 July 1982
Sanchez Pizjuan, 

Sevilla
Attendance 70000
Referee Charles Corver

   La chaleur est raisonnable, ce soir-la, a Seville, avec une petite brise legere qui court le long des nuques. Les Allemands, comme prevu, appliquent un marquage individuel tres strict sur les Fran9ais, ceux-ci se livrant a une petite astuce qui consiste a faire glisser Amoros a gauche, pour prendre Littbarski et a faire jouer Bossis a droite afin qu'il puisse genereusement monter, Magath se tenant tres en retrait. La «Kraftmaschine» allemande exerce d'entree sa pression et, a la 15e minute, un tir fulgurant de Littbarski sur coup franc s'ecrase sur la barre transversale d'Ettori. Mais, trois minutes plus tard, le gardien tricolore est moins heureux: une ouverture de Breitner pour Fischer, celui-ci qui se presente devant Ettori lequel renvoie le ballon, Littbarski poste aux seize metres qui allume un tir rasant aussi precis qu'un rayon laser, but pour l'Allemagne (1-0).


L'equipe de France, notez-le bien, n'a souffert d'aucune inferiorite ni infirmite congeni-tale. Elle est restee unie, et son panache et son potentiel demeurent intacts, c'est evident. Neuf minutes apres le but de Littbarski, un coup franc aux trente metres est joue par Giresse pour une faute de Kaltz sur Genghini: Bernd Forster bouscule Rocheteau et 1'arbitre hollandais M. Corver, apres avoir semble hesi-ter, designe le point de penalty. Platini se fait un plaisir de prendre Schumacher a contrepied ( 27e). La France est revenue a la hauteur de 1'Alle-magne et c'est le plus beau, le plus rapide, le plus indecis des matches que nous ayons vus depuis longtemps. Le jeu est d'une haute tenue, les deux equipes attaquant et prenant des risques, leurs demis et leurs defenseurs venant constamment se joindre aux offensives et les tres bons techniciens ne manquant pas sur le terrain. Peu a peu, 1'equipe allemande semble perdre la bataille tactique engagee, con-trainte d'accepter la domination d'une equipe fran9aise fringante, alerte, petillante et parfois irresistible. Malheureusement, plusieurs fails vont venir perturber le deroulement de ce match superbement engage pour les Franpais: la blessure au mollet de Genghini, remplace par Battiston a la 51e minute et la terrible blessure du meme Battiston, dix minutes plus tard. « Battiste », apres avoir pris la place de demi defensif plus specialement charge de la surveillance de Breitner, se lance magnifiquement dans la bagarre. Son tonus, son ardeur sont manifestes et quand Platini lui adresse une balle lumineuse en profondeur, on le sent parti pour marquer. Mais au moment ou il arme son tir, a 1'entree de la surface allemande, le gardien Schumacher le percute avec violence. Dans le mouvement, on a devine 1'intention de faire mal mais, au ralenti de la television que l'on passe une fois, dix fois, cent fois, le geste de Schumacher atteint toute son indignite. Avec le coude puis la hanche, le gardien allemand a volontairement, c'est probable, cherche a abattre son adversaire qui, louche en plein visage, a perdu connaissance. Le docteur Vrillac, terriblement inquiet, craint l'irreparable car Battiston est atteint de spasmes ner-veux. Janvion croit son ami mort tandis que Schumacher, negligemment, fait sauter le ballon dans sa main.


Le ballon est passe au ras du poteau, on eva-cue Battiston sur une civiere, Lopez rentre a la place de son coequipier et que fait M. Corver ? Va-t-il expulser Schumacher, lui donner un avertissement, siffler un penalty, s'elever contre cette violence intolerable qui coute a Battiston trois dents, un ebranlement de la machoire et, plus serieux encore, une fracture de vertebre cervicale ? Le monde entier attend et c'est... un renvoi aux six metres. Les Bleus pourraient s'effondrer psychologiquement mais outres, passionnes, galvanises, ils prennent les Allemands a la gorge, les pressent, les bousculent, attaquant sous tous les angles et meme par Tresor et Bossis, c'est vous dire s'ils ont la victoire en tete. Les Allemands ont fait entrer Hrubesch (74e) a la place de Magath afin de recuperer au moins la supre-matie aerienne mais les Fran9ais qui conser-vent presque constamment le ballon les empe-chent la plupart du temps d'utiliser cette arme favorite. Ettori intervient de belle maniere devant Briegel. Littbarski echoue d'un rien. Schumacher percute Rocheteau au visage, Pinfame salopard. Et puis, alors que Platini demande 1'heure a ceux du bane de louche, Amoros s'avance, s'avance et declenche des vingt-cinq metres un tir magnifique qui echoue sur la barre transversale de Schumacher. Les dieux du ballon rond ne sonl pas francais en ce 8 juillet 1982 a Seville.


Ces Bleus atlaquent la prolongation comme des chefs et, en huit minutes, s'ouvrent la porte du paradis: d'abord, sur une reprise de voice extraordinaire de Tresor, consecutive a un corner lire par Giresse (93e, 2-1); ensuile, sur un
un tir tres sec de Giresse, des dix-huit metres, ponctuant une action avec Six (98C, 3-1). On croit les Allemands archi-ballus mais on devrait savoir que ces footballeurs-la ne sont batlus que quand ils sont morts. Rummenigge, entre juste avant le but de Giresse, bat le rappel de ses coequipiers, eclaire le jeu et jaillil comme un diable au premier porleau pour reprendre un petit centre de Littbarski et battre Ettori (103e, 3-2). Un petit quart d'heure a tenir pour les Fran-9ais. Mais c'est trap pour eux, pour leurs jam-bes, pour leurs nerfs. Ils oublient de serrer les boulons voire de jouer comme des cochons pour preserver 1'essentiel. Les Allemands, lances a fond, appuyent de toutes les forces qu'il leur reste et certains n'en ont plus, comme Briegel qui, avant de sortir, a crache ses pou-mons sur le gazon. Littbarski le poison centre encore, Hrubesch rabat le ballon vers Fischer et celui-ci, d'un retourne acrobatique, egalise (110e, 3-3). Apres la prolongation, il faut tirer les penalties, c'est prevu au reglement, et c'est une drole de chose pour un evenement aussi important. Giresse, Amoros, Rocheteau reus-sissent les trois premiers tirs francais; Kaltz, Breitner, Littbarski les trois premiers tirs allemands. Clin d'ceil du destin aux Francais: Stielike manque le sien. On pense a la France en finale, a la justice du sport, a Battiston. Mais Didier Six le maladroit, le maudit, rate son coup a son tour. Rummenigge et Platini terminent la serie de cinq: 4 partout. Bossis, auteur d'un match grandissime, s'est avance. Et il rate, le grand Maxou, pauvre de lui et pauvre de nous! Alors, Hrubesch met un terme au suspense. Cinq penalties a quatre et un beau reve envole"...





Buts : Littbarski (17e), Karl-Heinz Rummenigge (102e), Fischer (108e) pour la RFA. Platini (26e s.p.), Trésor (92e), Giresse (98e) pour la France.
RFA Schumacher - Kaltz, Stielike, Karl-Heinz Förster, Bern Förster - Dremmler, Breitner, Magath (Hrubesch, 72e), Briegel (Karl-Heinz Rummenigge, 96e) - Fischer, Littbarski.
FRANCE : Ettori - Amoros, Trésor, Janvion, Bossis - Giresse, Tigana, Platini, Genghini (Battiston, 52e) (C. Lopez, 62e) - Rocheteau, Six.




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